S’il y a un moyen de faire entrer la poésie dans la vie des gens, c’est bien par le sport ; grand maître du divertissement, roi des journaux et rendez-vous quotidien devant la télévision du salon. Et s’il y a un nom duquel on peut s’inspirer, c’est bien celui de Jonh Wooden. Les temps ont peut-être changé depuis les beaux jours de la carrière de l’entraîneur qui est décédé en 2010, mais personne dans le monde du sport universitaire n’a encore rejoint son record personnel : une série de 38 victoires de tournois. C’est peut-être l’indice d’un outil laissé aujourd’hui aux marginaux qui dînent à la bibliothèque ou aux bohèmes qui ne cherchent pas de travail. D’un outil, somme toute, qui pourrait servir.
Tenant compte de l’état dans lequel est le Canadien de Montréal, un petit coup de versification dans le vestiaire, entre deux gorgées de Gatorade, ne ferait certainement pas de mal.
À ce propos, il est très facile de nous contacter, mesdames et messieurs du monde du sport.
Voici un article qui retrace la passion qu’entretenait Wooden pour la poésie et une annonce de Gatorade qui le met en scène. « Then, Now, Forever » qu’ils disent.
Charles Dionne