Samedi le 12 mai 2012 (je me rends compte que j’aurais dû faire un souhait…), Poème sale se rendait à la soirée littéraire de l’événement Pinakotheke, ou l’art de ne pas parler de température. Mariant conférences et lectures, la soirée se tenait dans le cadre de l’événement annuel qui se veut une fenêtre pour l’art contemporain, toutes disciplines confondues.
Au Belgo, respectant la programmation conférences-création, les membres de Baise Livre ont présenté leur projet et plusieurs conférenciers ont pris la parole au sujet de questions multudisciplinaires ou littéraires. L’objectif : multiplier les expériences de la création et ouvrir la possibilité d’un dialogue entre la présentation de l’oeuvre et sa création. Le projet prône la rencontre artistique entre les divers média, entre les créateurs et les visiteurs, et entre l’art et l’individu. Les organisateurs cherchent à offrir une vitrine aux artistes de notre génération où le partage créatif est mis de l’avant, où l’oeuvre d’art n’est pas seulement reçue ou créée, mais bien vécue. Et en huit jours, c’est exactement ce qu’ils ont fait.
Des lectures ont suivi les conférences. Nous avons alors eu le plaisir d’entendre des auteurs de tous les milieux, d’Emmanuel Simard et de Julia Pawlowicz à Mathieu Laflamme et Alice Michaud-Lapointe.
Pinakothèke en est à sa deuxième édition et nous souhaitons revoir l’événement encore longtemps.
Vous pouvez les voir ici.
Poème sale.