La mort de
La mort de l’âme,
hors de lame ores,
delà mordent la.
Mors de la maure,
de l’âme hors de là, morts.
Le rôle
l’appât,
le rôle de l’appât, de la part,
de la parole, de par les parts,
c’est pas drôle de prendre part à l’appât et à son rôle,
le chat, la chasse heurte, le chasseur et là, pas là,
pas l’art, oh le happe, arrose la prose,
les départs, les, de parler de part en part
lave oie, la, la voix qui sème, qui s’émet, s’émiette,
le happe, à rôle en l’air, s’en vole,
coma, comma comme à, à,
pause, rose,
prose
ose
attrape, attraits, à travers un micro, ou une dent presque pointue
ordre, maures donne de mordre de ces, décès, de cette dent dense qui danse au son ou somnole
dédier de dire d’y mettre l’âme par la patte, et crier, cris rire
en six langues ou en silence
écrire, la main pâle à la pâte
molle
sans rien dire
Gare des est-ce poire ?
regarde par la fenêtre, prends le temps, il semble que derrière elle,
il y a tout l’univers avec nous dedans, que la terre y tourne,
que les plantes y jouent le jeu des saisons, que le vent souffle,
même sur l’indifférence, que les gens vaquent à leurs tracas quotidiens,
que l’air est doux, que l’horizon reste toujours bien loin et inatteignable,
que l’eau voyage dans son lit et à son image, les voitures sur les routes,
que l’apparent chaos est l’œuvre d’un chorégraphe dont la vision splendide
et immuable nous dépasse… il semble qu’il y aura un printemps,
que la terre tourne oui, et que tout, absolument tout, est parfait.
Danse, L’aime